lundi 8 décembre 2008

"Les ailes du désir" de Wim Wenders

Hier ou plutôt ce matin, à 2h du mat, j'ai terminé d'écrire un long, très long message, et au moment de l'enregistrer, pfuit, il a disparu et le récupérer s'est avéré impossible : il n'y avait plus de liaison internet.
Zut, crotte et flûte, comme dirait la Sorcière de la Rue Mouffetard. Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un personnage créé par Pierre Gripari et incontournable dans mon répertoire de maîtresse. Et ce sont les plus gros mots que la classe est autorisée à prononcer lors des séances de gros mots d'enfants encadrées dès l'apparition des premiers "cacaboudin". Ai-je parlé déjà de ces séances hautement éducatives...je vais me relire...


C'est en relisant mon précédent message que m'est revenu un souvenir qui aurait dû être une alerte sérieuse.
J'ai toujours préféré voir les films en version originale sous-titrée : je préfère entendre les vraies voix des acteurs. Je ne me suis mise à la fréquentation des versions doublées qu'au moment où je suis devenue maman sortant ses enfants au cinéma.
"Les ailes du désirs" passait dans un cinéma du XIIèmme arrondissement, aux "Gobelins", je crois. Quand je suis sortie de la séance, j'étais furieuse. Je trouvais que le prix d'une place de cinéma était suffisamment chère pour qque l'on puisse exiger une traduction intégrale. Or, il y avait eu de nombreuses scènes non sous-titrées, avec des acteurs chuchotant : je n'avais réussi à donner aucun sens au peu de son perçu. Évidemment, le film ainsi amputé me semblait incohérent. d'où ma colère.
Explication qui aurait dû m'alerter : les scènes incriminées étaient en français, et donc, n'avaient pas besoin de sous-titre.
Je ne me souviens pas d'être allée consulter un otorhino après cet épisode.
Je crois que ma première consultation date de mon épisode de vertiges au retour de la tournée en Turquie.

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